domingo, 28 de febrero de 2010
Suscribirse a:
Enviar comentarios (Atom)
En Mérida, a partir del año 1975, se gestaron amistades inquebrantables. Quien se sienta implicado, que participe. Aquí se parte la pana y se comparten: Alegrías - Paranoyas - Falbhe y Calbhe - Archimetrías - Territorios de La Cavecania Arcaica - Nuevos valores de la Gayumbariedad - Rocas - Entomologías carpetovetónicas - Soirées - en un hilo de Ariadna bobinado desde el nascimento del Anas hasta la desembocadura del novelesco Monkay en la mar océana.
156 comentarios:
¡¡---!!!
?¿ (...)
Camille Claudel (Fère-en-Tardenois (Aisne) le 8 décembre 1864 - Montdevergues, (Vaucluse) le 19 octobre 1943) est une sculptrice française, sœur du poète et écrivain Paul Claudel. Elle est également connue pour sa relation passionnelle et tumultueuse avec le sculpteur Rodin, de vingt-quatre ans son ainé.
...¿¿Hórdago cano???
Camille Claudel est née à Fère-en-Tardenois (Aisne) le 8 décembre 1864, de Louis-Prosper Claudel, conservateur des hypothèques, et de Louise-Athanaïse Cerveaux, fille du médecin et nièce du prêtre du village. Après la disparition de Charles-Henri (né en août 1863)[1], le premier fils du couple, mort à seize jours, Camille devient l'ainée d'une famille qui comptera deux autres naissances.
Par la suite, le couple s'installe à Villeneuve-sur-Fère, petit village à quelques kilomètres de Fère-en-Tardenois, Camille y passe son enfance entourée de sa sœur Louise, née en février 1866 et de son jeune frère Paul, né en août 1868. La famille Claudel s'installera ensuite pour trois années à Nogent-sur-Seine, de 1876 à 1879. Cette ville de province sans intérêt, ainsi dépeinte par Gustave Flaubert dans L'Éducation sentimentale, sera le lieu où Camille fera ses premiers pas d'artiste. Là, elle rencontrera le sculpteur Alfred Boucher qui lui fera prendre conscience de ses dons exceptionnels.
Camille Claudel de Auguste Rodin (1886) (bronze 7/12, fonderie Rudier 1869)En effet, depuis l'enfance, Camille est passionnée par la sculpture et commence très jeune à travailler la glaise. Appuyée constamment par son père qui prend conseil auprès d'Alfred Boucher, Camille doit affronter la très forte opposition de sa mère, laquelle aura toujours une violente aversion pour cet art qui passionne son aînée. En 1882, alors que les Claudel séjournent à Wassy, Camille persuade sa famille d'emménager à Paris, à l'exception de son père retenu par ses obligations professionnelles. Cela, afin de perfectionner son art auprès des maîtres. Avec son frère Paul, elle habite au 36, boulevard de Port-Royal. Ensuite Camille vit et travaille dans son atelier du 19 quai de Bourbon, dans l'Ile Saint-Louis de 1889 à l'an 1913, date de son internement. Une plaque souvenir est apposée sur cette maison.
Elle suit, tout d'abord, des cours à l'Académie Colarossi. Par la suite, elle loue un atelier avec des étudiantes anglaises dont Jessie Lipscomb avec qui elle se liera d'une profonde amitié.
.... Cetto vienn dedans l,Wiskipröllia..!!!
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
....
No había nuages sûr Maganoburugo cetta maddiana...
Sans crónical pollinázca...!!
...Mudo y laborioso reporter..!!!
(No es menester leer tó lo que viene en la wkipraöllia...)
¡¡Pasín podé platicar garbâmchio..!!
De:"The Pearl of Calbhe & Phalbe" 2010
.....
tamién ice:
"".......
Camille a d'abord étudié avec Alfred Boucher. Celui-ci était à Paris pour mettre en place La Ruche, un phalanstère, une communauté d'artistes. Mais lorsqu'il gagne le Prix de Rome et s'installe à la Villa Médicis, il demande à Auguste Rodin de le remplacer pour son cours de sculpture qu'il donne au groupe de jeunes filles. Ainsi Camille et Rodin font connaissance. Très vite, la connivence puis la complicité artistique s'installent; devant le génie de Camille, l'originalité de son talent et sa farouche volonté, Rodin ne résiste pas longtemps ; tel qu'il le dit lui même: « Mademoiselle Claudel est devenue mon praticien le plus extraordinaire, je la consulte en toute chose ». Et à ceux qui la critiquent, Rodin répondra : « Je lui ai montré où trouver de l'or, mais l'or qu'elle trouve est bien à elle ». Camille influence profondément Rodin, qui modèlera « l'Éternelle idole », « le Baiser » (ils y travaillèrent à deux), ainsi que la monumentale « Porte de l'Enfer »... Suivront également des œuvres comme la Danaïde, Fugit Amor… Camille Claudel glisse de l'expressivité passionnée et exclusive du corps nu, propre à ce dernier, à une science des attitudes plus originale et maîtrisée qui relève de son génie propre. Des drapés très art nouveau enveloppent de plus en plus les corps. Un chef-d'œuvre tel que « la Valse » (qui compte plusieurs versions) montre l'étendue de son talent. Mais l'artiste ne s'arrête pas là, elle explore une nouvelle voie, profondément originale. « J'ai beaucoup d'idées nouvelles » confie-t-elle à son frère Paul. Elle en donne quelques croquis étonnants, parmi lesquels on reconnaît « les Causeuses ». Des œuvres nombreuses et remarquables naissent alors sous ses doigts. C'est l'invention d'une statuaire de l'intimité qu'elle seule a pu atteindre. La voie amorcée par Camille Claudel vise à saisir sur le vif le vécu d'un geste simple, dans l'intensité de l'instant. Elle s'attarde au moment qui s'échappe et réussit magistralement à en faire sentir toute la densité tragique....""""
Y porsigue una poquita más:
...uffff...
qué jartón..!!!
Dl-lhá Cava
Comprenant que le monde de l'art continuera à ne voir en elle que l'élève de Rodin, Camille Claudel décide de quitter celui-ci. Les dix années qui suivront seront les plus productives de sa carrière, mais elle ne recevra pas de commandes de l'État (commandes demandées à grands cris par son admirateur enthousiaste Octave Mirbeau, qui proclama à trois reprises son génie dans la grande presse). En effet, Camille défie la morale sexiste du monde de l'art de l'époque en sculptant le nu avec la même liberté que les hommes. A la fin de sa carrière, elle reçoit enfin une commande lorsqu'elle sculpte le nu saisissant d'une femme seule et mourante Niobide blessée.[2]
Vivant misérablement, Camille Claudel s'enferme bientôt dans la solitude et sombre peu à peu. Elle est âgée de quarante-huit ans lorsque son père meurt. Sa famille, incapable de faire place à l'exceptionnelle artiste qu'est Camille, décide de l'interner en mars 1913 à l’asile de Ville-Évrard. Elle passera les trente dernières années de sa vie à l'asile d'aliénés de Montdevergues, à Montfavet près d'Avignon, où elle est affreusement malheureuse, sans rien obtenir de ce qu'elle demande, sans jamais recevoir une seule visite de sa mère ni de sa sœur, mais seulement de son frère Paul qui ne vient la voir qu'une seule fois par an. Elle meurt le 19 octobre 1943 d'un ictus apoplectique[3]. Elle est inhumée quelques jours plus tard au cimetière de Montfavet accompagnée du personnel de l'hôpital, puis ses restes seront transférés dans une fosse commune, son corps n'ayant pas été réclamé par ses proches.
jobar:
Qué tupa decrir..!!
No puó ma.
Lo dejo, a B si se vaca brear Tcharkozí.
FIN (Hastarnual)
Trojo de cazzio de calcio de prosodio de morzo de jintro, cuandito que la vuál Muack.
...es que al ver ese solito en la ciudad menumental que acoge tan "rodinada" - rodio eventración...
...mentran ganas de salir al sol, como ayezno mismo, que tó la pegna salió a ver en nuevo rido a dos carrillos d,habua...
...rapté cadie abajo hasta el pretil pétreo y asoméme a conotemepalar la crecida, carro präollante en ristre.
Tomé daguerros y un miniflín.
Tol transeunteo a la pesquisa del vórtice solar cavecano.
No puesto crónica, que ma dao no sé qué hollar la imaginería rodiniesca
A más, yastá hí el empodllamiéneto wiskipédico
Elle est également connue pour sa relation passionnelle et tumultueuse avec le sculpteur Rodin
(una warra es loquera)
Siendo de Montdevergues, qué se podía esperar
Ya visto en el Narro imágenes del Anas
Cómostál patio!
Paonde dllo vivía, en Gabaccia, ha caío Ladde Xtian Dior
Pero los de Royan shan escapao, según me informa Manolo por el feisbu
Olvidábame de decir quice los daguerros el vienne paso a las ocho y media la maniana. Dahí las sombras largas
Gracias, Isabelo, por esas putualizaciones tan bien dispuestas...
y con información valiosa sobre la potencia habuosa en tu ex-mor gabbazzial.
La sombra luenga/ventríccola longa...
vas a B en cuantodito lo vea el zipangués ahora desubicado.
Ntóze...
¿qué pasa? ¿Que era mu promísqua la camilla sans phalda marillaica...?
A b si esta nochie me puó de de de leder el budo tejto en garbanzio.
CHINCHO REDO
Pos con Debusi selo dubió pajar Debuti...
selon jize paín...
IN MOTU MNARTÍ
Si béx un Monte de Vergues
es mi nabo loque B,s
mi bull es un Monte Cool
onde froligelian los blores
¿Ascaso no era Rodin el hermano pequeño de Rodas el coloso..??
¿Él y Rodaja no eran hermanastros?
¿No cantaba el honorable escultor aquello de:
"Rodín, rondando,
pal Vergués voy arrostrando..
un bronce verde ..."?
Cmaj7 - A7sus4 - Dm7/6/5 - G7... etc..
¿No cantaba el honorable escultor aquello de:
"Rodín, rondando,
pal Vergués voy arrostrando..
un bronce verde ..."?
Cmaj7 - A7sus4 - Dm7/6/5 - G7... etc..
Yo jamás conocí a la Camilda en pessoa.
Cuando diegué a ver la versión adjánica/depardihora hacía agnos cun biblotecario, al hacer limpia duna bibloteca, ofrecióme una buen número de revistas Franco Mª Richi de esas de ARTE tan bien ilustradas.
Pos en una de éddias jabbiva un simio-grama o mandril-report de la mesa de Camille sin falda marilláica.
madre, nomentero como casi sempre
jjjajajajjajaj, Camille tu m'épates!!! Pobre Habbo, ponle la translation, cogno, que no pihya naaaaa!!! Muy bueno el reportage, igual loin kluyo en mi blos, ma molao!! M Bi a la piltra. Bonne nuit!!
La culpa ha sío de Tamarindo:
La intro "Rodin ha venío pakí" es de una luz y claridad casi madrugal.
No en vano los daguerros se tomaron circa las 8 h. A. M.
Era monumental a la vez que silenciosa ante la mañitud de las obras expuestas, y lo sigue siendo.
Son la intromisión de La Claudel, hermana maddior de Claudín e fil-lha de Claudio y la yuxtaposición comentarial y retrospectiva de la Camilla Sin Falda de época marillaica las que han embarrosado la ristra.
La solución al contratiempo la tiene Mow, quien a buen seguro deberá poner juicio en tal marasmo.
De: Relor d,um sérèio - Op. Cit - Reflexiones en torno al tórculo - Cap. LVII - pág. 605
..al comentarlo en negrita me estaba acordando de la canción
DRUME NEGUINHA
Ha sido craso error la mezcolamça.
No me ha valido extrapolar el estudio del oxígeno, el nitrógeno, el nitrox y aplicarlos aquí como ejemplo práctico.
En adelante, someteré a severa regulación la válvula de la olla.
Sin dúvida, ha sío la visión - ayezno mismo - de un relieve de Asurbanibal y su ejército cruzando el rido...
Bá ataviado el méneda con un odre de cordero como depósito de aire, con el fin de sorprender al enemigo.
No me lo puí quereder.
Primero Bí un dibujo y aluegación en un liborio de la birlibloteca haddié el bajorrelieve cudios presongêms agoura fluyen por mi porpria gruta espeleológica craneal.
De "L,Endecabuct" - op. en acción directa - Shör - 2010
Dlla mihmostás subiendo ese bass relieve, por mor de la ilustración cavecánica
...voooooooyyyyyyy....!!!!!
HA DIEGAO MOW DL-LHÁ???
Pajo monja rea que se diebal MowwwwüUUUuuuu..!!!
WEEEEEEEYYYYYY!!!!!!!!
CAI MOGODLLHON DINTROS!!!!!!!!!
Consulto por brújula, por ordenador subacuántico, por consola de despresuración y no ha venío ell Mow.
Viva el cogno dl-lhá Rodin y el tio chulo quizo los daguerros con las sombras afiladas...
Olería Mañobürgh a tostada y a escape de taxi y bus mañanero...
Qué villa tan grande y poblada..!!!
Y qué pajo edifigios se vislumbran..!!!
Consulto por brújula, por ordenador subacuántico, por consola de despresuración y no ha venío ell Mow.
Viva el cogno dl-lhá Rodin y el tio chulo quizo los daguerros con las sombras afiladas...
Olería Mañobürgh a tostada y a escape de taxi y bus mañanero...
Qué villa tan grande y poblada..!!!
Y qué pajo edifigios se vislumbran..!!!
óndia...
me repetío..
es que cenao chioro y queso garbanzzio de ése verde tó podrío tan riquelme..!!!
ÑAM-ÑAM...
óndia...
me repetío..
es que cenao chioro y queso garbanzzio de ése verde tó podrío tan riquelme..!!!
ÑAM-ÑAM...
Paõ quente con chouriço y fromage vert de Conde Orlock.
Tostaíto el pan y una pera andiwilianluego.
Mira que phalb/menca me levantão.
"De bon matin...
etc, etc..
Impresiona sobremanera la figura desnuda que miserabiliza delante de "La Peletería"...
que monton de gente nueva hay paquí
Taesto mu concurrío, sí
Biá cantá esta dllo también
Si béx un Monte de Vergues
es mi nabo loque B,s
mi bull es un Monte Cool
onde froligelian los blores
El daguerro de la peletería está repetío, pero es que el primero me salió movío
Yay que ser torpe pa te te salga movía una foto duna estatua
Es que pasó esa del chiandal y me dí priesa pa cogella
Y aluego me fui a repetir daguerro, pidllando a la madera
Cáu n, sós:
Agora mehmo cacabo de de de de ver
a la guedejosa rubianca.
El bronce rodinado en postura de pase sin estoque x faralães, cohom...
Eres Budo Ambo, con total certeça.
FOTOS WÉNS DE LALO
En otro jeszenairo de bronze rodinèe sa preçia una ciclópea tienda de chiuchies...
en un lao dotra pone:
REGALICOS
Qván composcencia..!!
Sí
Reiterando:
Lalo = Muto Hamo
No sé si vos habédis dão cuén:
Hay un monuméneto a Locomotoro.
Aconcagüantte..!!!
En la segunda daguerración se ve mu fien...
En la tercera más leixana...
En la cuarta en la longanitàmça.
!!!El Lalo es un Master de la prescriptiva cavaliera..!!
Gracias por esos trávelins tan choolys, Tio Paco.
ODIN
Oda chikenlítell präll Roudencio
Roden
Rod in Rido
Ridón...
Rodén:
Bebestible de Carignegna en ODRE de Cabra Alta y Cabra Baja
Paho reportaje fotográfico sin palabras. Si el anterior era la imagen casi fija de un sillón que cantaba a dos voces, agora son muchas fotos mudas. Stamos de contrastes.
Esta debe ser la exposición que antaño estuvo en Salamanca y ha ido también a alguna otra capital, con fondos del Museo Rodin que dejan para la itinerancia.
Impresionante la imagen solitaria del Pensador meditando en la Plaza del Pilar.
Un concurso: ¿En qué piensa?
Que he parado para seguir leyendo comments, que no me da tiempo a nada.
Nefecto que hay cruce de cables con el augusto Rodin y la mesa camilla. Perostá muy bien, que abrel campo mucho.
He disfrutado mucho con los comentarios, incluida la prolija biografía afrancesada.
La verdad es que soy un gran admirador de la mesa Camilla. Hubo una exposición antológica en Madrid hace un par daños, con un catálogo gordo y completísimo que tengo y que reproduce toda la correspondencia atormentada de la susodicha, que tenía una paranoia y una manía persecutoria de libro.
Se siente uno casi incómodo leyendo toda su correspondencia, es como hurgar en exceso en su intimidad. Y es que somos muy cotillas. Viendo las cartas se aprecia su evolución y lo duro de su situación, recluida y desolada.
Tenía temperamento y genio. Genio en sus dos acepciones.
Como me temía, acabo hablando más della que dél. Pero es ques un personaje fascinante.
La peli de Bruno Nuyten "La pasión de Camille Claudel" es de lo más recomendable. Y la Adjani, que siempre me da la impresión de que va de diva un poco insoportable, está muy bien nel flim.
Está genial lo de Isabelo.
Y también el resto de nombres y seudónimos, que son todos muy ocurrentes y nada repelentes.
Por cierto...
Ma gustao mucho el nuevo nick.
Este podría ser otra alternativa.
Aunque suenalgo raro. Suena a beso negro.
Lo voy a tener que dejar, qués muy tarde y no puedo seguir.
Las distendidas alegrías introitales y comentariales de la época del carnaval y subsiguientes están ahora pasando factura.
Estoy muy liado, y de ahí mi ausencia de un par de días.
Ya veo que hay nuevos y suculentos introitos buceofalianos, pero me es imposible verlos ahora.
Todo sandrará, querido Habbo, que croke no tenteras porque tienes la cabeza en otro lado.
Nostaba muerto,
questaba de curranda...
Hastarnúo Poe.
Ahí queda eso.
"Saber que vendrás...
Ignorâmçia que no bénegas
Ristra comen mowensants
culturclubos comme(nt) luis mêsmês"
Nuevo cantoral cavecano - S. do T.
Cautivo y desarmado el ejército alúmnico, Muack regresa
Sí ques verdad que lo de Osculow suena a beso negro
El pensador piensa en lo que tol mundo
anoche conoci a Sandraratralará,
iujuuuuuuuu.
señó Habbo se sento en un banco y no se apoyo en la barra como mandan las tablas.
uy uy uy uy
ta noche tocamos los lizzy en Badajó,
que nervios y que contento toy.
ya veré los intros posteriores que ando liaete gitaneando ya sus contaré mas detalladamente.
Ese Sha que va triunfaar con tós los grupos del mundooooo!
Que llama diegao el programa del tour mundial!!!
A comérselo tó, Shandy!
Cambiando tema: Eso de que Habbo nostaba en la barra ¿Lo dices en sentido figurado? ¿Es un mensaje cifrado? ¿Lo dices pa disimular el pajo éxito que taguarda? ¿Hay gato encerrado? ¿Eran ótoro Habbo y ótora Sánadara? ¿No había barra en ese bar? ¿La espaciada sabía más fresquita en el bánaco?
Cuántas cipótesis!!!!
King Treega!!!!
Bueno, bueno, bueno ...
Qué sin vivir!
Ottia, comment 103
Me voy, que maniana tengo travel a la zona mediterránea
Ya sus contaré más detalles
(Este último comment se lo he copiao a Sha, con lo del gitaneo)
Si sus habéis dío tós A B a los Lizzy, qué suerte, cabrones!
Tres minutos fartan paquempiece
Dos
WWEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
SHAuerte
Shuerte
Schuerte al Sha en su fulgurante GIRA 2010
¡¡¡Vaya carrerón que diebal Tio La Yijson...!!!
Sha Non Stop..!!!
Tol múnudo lo quiéee...!!!
¡¡¡PAJO GIRA SEBÁ cer..!!!
Tiene + Boholos quuna bolera cabía en Vva. da Sérèia...
"The Deor Rapid,s"
-Teodhor Apisc:
El quinvenetó el fuadededededegrass
"...dijiéramos ayezno"
Sos bejilo...,
cudiao.
Ese WEEEEYYYYYY de Lalo no cabía en la carta
Ni en la Encarta..(órdiga, La Encarta 92, qué antiguo.!!!)
jias,jias,jiáaaaassss...!!!
Buéeeeeno:
¿QUÉEE:
¿Sos van gustão mis plastis en pleno Zaratustragosa...,ein..?
Asinique:
a la Habua Nuesa sebal Plauco.
¡¡Que tinguen sort..!!
a Cadaqués?
A Cullera ???
A vinarozzz...???
¿¿¿PAJAS x MêmquimnemmzZça???
jo macho tio acabo de llega de boholacion y con que sonrisa me via la cama dentro de un rato leyendo estos coments.
mese caen los lagrimones.
como a Lalo cuando vio pas ladelchandal.
barra haberla Avíla, pero hacia menos frio en la mesa arrecojios.
el boholo? al publico lagustao. pero a mi de esos dias queno te gusta na, solo la caló de la gente.
La humildad del Grand Sha no coñoze límites.
Cuando ize qual púlbico la engustao es que estaría ENTUSIASMADITO, porque Lor Thing son ESPECTACULARES en directo y en su casa a la hora de manducar.
.....Y ESO QUÉS PA COBARAR
Yebo 3 días intentando dir con La Yemma a cobrar un boholo a un poblado situado a 9 kms. y no soy escaparz x lo webbos tan giordos que dillor ma dao y quesi la niebla, quesi la diuvia, que si patatín, quesi Zicután
Al dir a diebbar a práoll,s ce matin men conotarado a una Phamilliar de nueso Paladín dell Hamvor y dell Laburo - falbho en calbhe - y ma chivao CONFIDENCIALMENTE:
ES OFICIAL
Pero, ya que Sha y Lalo calbhan de DETALLES, que no sea por mi buche ponde mueral pez.
Quem divia sana..!!
Qu,hórdiga cana...!!
Nuexo Budo Hamvo, el Ulalio Pollinaqueo, tié candar dl-lhá de TRAVESSIA - fonita songcia de Milton Nasciturus - pahí pal Habuo Nueso - El Mendig/Terranco.
Trate endaguerros, Lalación, para vivirlo contiguo.
"Escroto en limpio" Shör - 1999
Nueva triumphación shádica.
El Sha vuelve a reinar.
El frente shandinista se cabrea.
Sharkozi tiene envidia.
Sharpozí lo ampara.
Sharna con gusto no pica.
Shana shana, culito de rana.
Sha no toca en Shanadú.
Sha no shale por las noshes, nunca.
Y por cierto, Shirena del Relox: Lo de las revistas de Franco María Rizzi es una pasada. Eran revistas de lujo y a mi me gustaban mucho, pero eran muy caras. Obtenellas por el morro suna gran suerte.
macaba de decir Sha y Fraguel que triunfaron. Malegro muxo.
Maenseñao camisa almaridí mu xula.
Ha hablao con Sandrará y tó.
Pero antes de irnos a sentarnos no s quedamos un ratito en la barra, jeje
Qué bien lo pasáis..!!
Un muérdago pa tóooxxxx..!!
Debe ser que tenían algunos números de la revista del Richi, de gran calidad paquéll ntozes...
En otra ocasión, hace ya 7 años o pallá, el amigo Manolo Cachuela me regaló una a estrenar.
Salían ex-votos o munumentos/emolumentos en miniatura, la parte por el todo...
Mu guÜUÜeeeyyy...!!!
Paco Mary Richi, que wenas ediciones...
atchio
Pero caro a rabiar,
molto caro, amici,
inaccesible pal bolsillar...
...y welen de una manera ditinta...
como a imprenta zipanga...
..o ZICUTANGA
CL
CL de Ciudad Leal
CL
...
de Ciudad Lineal
CL de Cloruro de Litio
(CL) Y (NA) es tóo lo mesmo
por osc (ulo) or lo ice Rodinante:
"Atrodchié la ternidá
y desenmascaré tras esa ubre álaguien...
un Rodin calletano
posó padl-lhín.."
Homepage a Sphalto
Estoy subiendo daguerros y veo candas pakí
Publicar un comentario